Les mots utilisés pour parler du changement climatique peuvent créer de nouveaux imaginaires, analyse la linguiste Pauline Bureau. De quoi nous pousser à l’action... ou la paralysie.
Pauline Bureau est linguiste à l’université Paris-Nanterre et vice-présidente du groupe de réflexion La Fabrique écologique. Elle s’intéresse notamment aux effets du langage sur la description du changement climatique et sur la transition écologique.